L’instant
S’attend allongé
Et l’intuitive passion
se prend au songe
Couché dans l’ombre
La friche en fraîche
Une idée sur la lune
Sur son astre brûlant
Cela tient aux tripes
Le manque de miel
Dans la chambre
L’éloignement commence
Et le regard en perdition
S’anime de l’espace
En douces caresses
Je le veux encore
Les jours et les nuits
Le manque de ciel
Alors l’instinct de l’ange
Déclenche l’instant X
Et en sa présence
Réside le temps
Une souffrance de plus
Qui ressemble à l’envol
Avant la chute
Car nous serons encore
Comme nous étions
Ce manque de réel
Ensemble
Ah, vous aussi, il vous sucre des commentaires le « démocrate » juan ? Dommage, z’étiez un des rares à apporter un peu de moelle dans l’univers lénifiant de son gentil blog.
(commentaire que vous pourrez également sucrer tant il dépareille avec votre blog, visiblement et heureusement, épargné par la politique).